Eric Zemmour est incontestablement LE penseur consanguin de l'année. Eric Zemmour, c'est un peu comme un guide, un pourfendeur du prêt-à-penser, un chroniqueur hebdomadaire de la décadence française qui ressasse inlassablement les crimes mitterrandiens des années 80. Eric Zemmour est un phare dans la nuit islamiste qui a recouvert l'Europe - et qu'ont fuit les plus courageux de nos petits soldats islamophobes, comme le firent jadis, il y a 60 ans, les dignitaires nazis qui redoutaient l'esprit politiquement-correct naissant qui allait les traduire devant les tribunaux bien-pensants d'un humanisme frelaté.
Mais comme le frontiste de base n'a malheureusement pas les moyens de quitter son zinc de rattachement pour s'installer outre-atlantique, il lui reste Eric Zemmour, chez Laurent Ruquier le samedi soir et dans le Figaro le lundi matin.
Car chaque semaine, dans les colonnes du très consanguin Figaro ou devant les caméras d'une télévision de plus en plus complaisante avec nos idéaux, Eric Zemmour se répand. Il se répand comme une évacuation sanitaire défectueuse, et étale sa saine xénophobie sur tout ce que la République compte de médias de masse. Impunément - les temps ont bien changé, il est loin celui où l'on attaquait Jean-Marie Leborgne en justice parce qu'il faisait des calembours qui n'avaient pas l'heur de plaire à l'establishment repentant et ethnomasochiste. Aujourd'hui, on glorifie la Franche souchienne en criant à la tribalisation - ou comment booster le communautarisme tout en prétendant le condamner.
Le racialisme ascientifique, la revanche du consanguin
Il y a deux mois, Eric Zemmour reprenait à son compte l'ignorance populaire pour affirmer que la catégorie "race" s'appliquait également à l'espèce humaine sur la simple base de la pigmentation de la peau, de la taille des lèvres ou de la courbure du nez. Bien sûr, de nombreux scientifiques ont hurlé à l'hérésie, ce qui prouve une fois de plus que cette science matérialiste et ratiocinante est ontologiquement munichoise.
Les "chercheurs", que le Sarkozar cherche d'ailleurs à mettre au pas en leur démontrant qu'une novlangue vide est plus efficace qu'une thèse savante, restent d'indécrottables empêcheurs d'endoctriner en rond. De toutes façons, il est proprement scandaleux de laisser la parole à un scientifique qui ne fait pas d'audience, surtout si c'est pour lui permettre de contester les stéréotypes et les clichetons que nos médiacrates distillent dans l'opinion. Eric Zemmour fait de l'audience, lui, il doit donc parler sans être interrompu ni contredit.
Le bébé blanc rit, sûr de sa domination. Le bébé pigmenté
revendique déjà des droits et youyoute sa vindicative complainte.
Alors bien sûr, un simple clic sur wikipédia semble confirmer que les "races" n'ont aucune existence scientifique en ce qui concerne l'espèce humaine. Mais comme n'a de cesse de le répéter l'auguste et mesuré Philippe Val, "internet c'est de la merde, touillée par des gauchistes antisémites qui se comportent comme des merdes, qu'ils aillent se faire enculer et s'ils me citent encore une fois je leur fais un procès, à ces merdes". Ainsi en va-t-il de wikipédia, qui a prouvé depuis longtemps son imperméabilité à l'iconoclaste philosémitisme militant des néodroitistes, et sa complaisance pour l'islamogauchisme en plaques de France-Palestine, n'est-ce pas, Philippe.
Plus généralement, que pèse la génétique, cette jeune thèse balbutiante, devant plusieurs siècles d'histoire judéo-chrétienne occidentale, blanche et lettrée ? Eric Zemmour a bien compris que le secret d'un dogme consanguin, c'est de l'affirmer le plus fort possible quels que soient les rires et les indignations qu'il suscite.
Eric Zemmour l'affirme : l'antiracisme est une idéologie. La preuve : la noble science du 19e siècle établissait très clairement la hiérarchie entre races. Le révisionnisme des 60 dernières années ne relève pas d'un quelconque progrès, mais bien d'une idéologie égalitariste qui met sur un pied d'égalité l'occidental héritier de Voltaire et de Gobineau, et le barbare sous-développé des latitudes exotiques. Qui nous dit VRAIMENT, au fond, que l'homme descend du singe, ou que la terre est ronde ???
Mes frères, il faut savoir se méfier de la science, et ne recourir à elle que lorsqu'il s'agit d'affirmer la supériorité occidentale sur la barbarie islamique ou l'obscurantisme africain, par exemple. D'ailleurs, Hitler appuyait sa théorie des races rampantes sur des travaux scientifiques, et on sait ce que ça a donné. Revenons-en donc à la bonne vieille intuition réactionnaire qui avait fait de la France et de l'Europe les maîtres incontestés du monde.
Très clairement, pour Eric Zemmour, cette ignoble "négation des races", qui s'appuie sur des travaux scientifiques précis, est aussi scandaleuse que la "sacralisation des races" des nazis. On reste déconcerté devant un sophisme consanguin aussi puissant. Balayons donc la science, qui s'est toujours montrée au service des idéologies de l'anti-France. ça fera plaisir aux Identitaires, à la Tribu K et aux leborgnistes de souche, bref aux consanguins. Puisque les nazis ont dévoyé la science occidentale pour en faire des chambres à gaz, c'est donc que les antiracistes actuels l'ont également dévoyée pour assassiner la France-Monsieur. Imparable, non ?
Zemmour, tel un afrikaner délicieusement anachronique, a le talent de transformer le racisme ordinaire en racisme intellectuel et décomplexé, en fustigeant au passage la science et son humanisme foireux. Alors que les anthropologues, les généticiens, les associatifs et les philosophes s'étranglent si ça les amuse, de toutes façons ont saura quoi faire de ces ayatollahs quand on aura pris le pouvoir...
Super Souchien contre les Nazis Métisseurs
D'ailleurs, si l'on veut bien en finir avec ce dogme de l'antiracisme, on légitime du même coup la colonisation, la traite des noirs et les génocides sud-américains, que la repentance bobolchévique présente à tort comme des crimes contre l'humanité. C'est logique.
En outre, contre le métissage obligatoire de notre époque, Eric Zemmour rappelle la saine "hiérarchie des cultures". Contre le relativisme culturel, Eric Zemmour souligne la traditionnelle suprématie blanche qu'une ignoble bien-pensance socialiste a réduit au rang de domination conjoncturelle et malfaisante. Eric Zemmour regrette tout simplement, à l'instar des blogs nationalistes de souche, que la culture française ne soit plus considérée comme LA culture supérieure à laquelle se référer. Eric Zemmour regrette la porosité des esprits français aux thèses du multiculturalisme, et la perméabilité des frontières hexagonales aux allogènes les plus foncés.
Alors à l'instar d'Ivan Rioufol ou d'Alain Finkillkraut, Eric Zemmour n'a de cesse de tonner contre les étrangers, ces hordes mahométanes qui pervertissent notre belle et grande nation et subsument l'esprit français. Eric tonne aussi contre les mirages de la science moderne et ses postulats égalitaristes que dément n'importe quel chantier de construction. Eric tonne beaucoup.
L'admirable polémiste du Figaro s'efforce de démontrer avec puissance et témérité la pertinence du mécano des Jean-Marie Leborgne, Georges Frêche et autres Alain Finkillkraut (le racisme républicanien ratisse très large sur l’échiquier politique et médiatique), qui ne voient l’équipe de France de football que sous l’angle de la couleur de ses joueurs. Zemmour a le courage d'aller encore plus loin, d’une part en passant de la couleur de peau (phénotype objectif) à l’affirmation d'une catégorisation "évidente" de l'espèce humaine en races (racialisme scientifiquement audacieux), et d’autre part en glissant de cette affirmation à l’idée d’une hiérarchie racialo-culturelle. C'est assez bien ficelé pour le spectateur lambda, même si ça ne résiste pas trois secondes à l'analyse. Après ça, on arrêtera de dire qu'il n'existe qu'une seule race humaine et une diversité de phénotypes et de cultures, mais bien différentes races, et des cultures plus ou moins morales et dignes. Et c'est bien ça l'essentiel, au fond.
Donc, la diversité, ok pourquoi pas, soyons "modernes". Mais qu'elle reste le fait d'une petite minorité, des noirs des jaunes des reubeus, et qu'ils laissent en paix la majorité monochrome et pétainiste, s'il-vous-plaît. Assez de ce diktat "diversité - parité", revenons-en aux bonnes vieilles valeurs traditionnelles, patriarcales et colonialistes.
Différence raciale = infériorité culturelle = inaptitude politique
En résumé, pour Eric, il existe des races, par nature différentes. Et comme à chaque race correspond une culture, et que les cultures sont hiérarchiques, on en déduit qu'une "race" étrangère importe nécessairement une "culture" incompatible, sinon inférieure. CQFD. Rappelons que le mahométan tranche la gorge des moutons dans sa baignoire alors que l'occidental a la pudeur d'industrialiser ça dans des abattoirs champêtres. Rappelons que le mahométan veut voiler nos femmes, alors que l'occident s'enorgueillit de les habiller en string (enfin, dans la mesure où le string ne choque pas l'intégrisme catholique, ce qui reste à démontrer). Rappelons que le mahométan est d'essence luciférienne, alors que le français de souche est d'essence divine, comme le montre l'histoire de ses institutions (du moins jusqu'en 1789, ensuite c'est la chienlit soixantuitarde qui règne).
D'ailleurs, sincèrement mes frères, l'état politique déplorable de l'hémisphère sud ne prouve-t-il pas par exemple que la culture noire est viscéralement incompatible avec le développement économique et la réflexion philosophique ?
Alors, raciste Zemmour ? Mais voyons, il mentionne alors ses origines berbères, celles qui le rendent douteux aux yeux des plus souchiens d'entre nous. Toutefois, Eric a "appris" que la culture de ses aïeux ne pouvait pas valoir celle de la France-Monsieur. L'immigration n'était une bonne chose que pour ses vieux, peut-être, mais ces nouvelles générations qui ne lisent pas les mémoires d'Edouard Balladur et qui se cognent le poing en guise de salut, au secours !
Cette "soif identitaire" que les immigrés épanchent en mordant nos compatriotes à la jugulaire !
Plus récemment, Eric Zemmour soulignait "qu'on ne s'étonne plus aujourd’hui qu’un ministre de la République prénomme sa fille Zohra. Cette soif identitaire (…) est le fruit vénéneux de l’antiracisme des années 80." Droit dans ses bottes de cuir dont il fait claquer les talons, Eric Zemmour martèle qu'un ministre, quelle que soit son origine et le casting présidentiel, est prié d'appeler sa fille Madeleine, ou Marie, voire Marie-Madeleine, mais certainement pas Zohra. Il y va ni plus ni moins du crédit du ministre, et de la survie de la race française. Il y va ni plus ni moins de la stabilité de nos institutions et de la suprématie de notre culture béret-saucisson, merde.
Eric Zemmour n'en est pas à son coup d'essai. Voilà longtemps que notre frêle petite vigie s'emporte, telle une oie du Capitole, contre la "féminisation" de la société, qui entraîne la décadence de l'Occident viril. Eric Zemmour a consacré un ouvrage entier en 2006 à la dénonciation des féministes ("le féminisme porte en lui, comme tous les mots en "-isme", un totalitarisme", encore une démonstration infaillible). Il s'agit là de la traduction médiatique de notre thèse fondamentale selon laquelle la femme trimballe naturellement vices et maladies. D'ailleurs, c'est bien cette salope qui a croqué dans la pomme il y a 6.000 ans. Eric Zemmour, à l'instar d'Alain Soral, sait combien il est urgent de protéger son petit zgueg des menaces féministes et islamiques. Mieux : c'est parce que l'homme occidental n'a de cesse de se féminiser sous la double impulsion du féminisme et de "l'idéologie gay" qu'il est aujourd'hui sans défense contre l'invasion barbare.
Super Souchien contre le Deuxième Sexe et les Invertis du Marais
Que dire encore de "l’idéologie gay" ? Eric Zemmour a déjà eu l'occasion de déclarer, dans son ouvrage "le Premier sexe, le plus gros, le meilleur", qu'en homme véritable, jamais il ne changeait les couches-culottes de son enfant, afin de ne pas perdre sa virilité en s’abaissant à cette tâche intrinsèquement féminine. Eric Zemmour sait tout de ceux qui veulent s'en prendre à sa virilité, et il ne se laissera jamais castrer par qui que ce soit. Au fond, l'ensemble de ses interventions sur le féminisme, l'antiracisme, la culture ou l'homosexualité se résument à ça : Eric répète et répète qu'il ne laissera personne, personne entendez-vous, lui dérober sa virilité. A bonne entendeuse, salut. Sus au matriarcat, mort aux pédés, dehors les immigrés, on est des mecs oui ou merde !
D'ailleurs, Eric Zemmour n'affirmait-il pas, en 2006, que "le poil est une trace, un marqueur, un symbole. De notre passé d'homme des cavernes, de notre bestialité, de notre virilité. De la différence des sexes. Il nous rappelle que la virilité va de pair avec la violence, que l'homme est un prédateur sexuel, un conquérant" ? Voilà qui réjouira tous les consanguins dont les poils constituent les divins Stigmates. Et qui font qu'une femme est avant tout priée de fermer sa gueule, et qu'un pédé doit avant tout travailler à revenir dans le droit chemin et abandonner son obsession névrotique pour les fesses d'Eric Zemmour.
Le poil !! Le fier consanguin l'a sur le torse, signe de sa conquérante virilité, alors que l'allogène l'a dans la main, signe de son atavique fainéantise.
Le poil !! Le fier consanguin l'a sur le torse, signe de sa conquérante virilité, alors que l'allogène l'a dans la main, signe de son atavique fainéantise.
Le poil, symbole de virilité, l'axis mundi du consanguin.
Si le derme est blanc, leur combinaison confine au divin.
Si le derme est pigmenté, leur combinaison confine au démoniaque.
De la hiérachie des cultures à l'activisme anti-français des populations pauvres
En 2008, Eric Zemmour a également signé un roman, "Petit frère", dans lequel il dénonce avec force cette perversion qu'est l’antiracisme, ce "communisme du XXIe siècle". Dans son livre, Zemmour lance une admirable croisade contre la défrancisation du pays, et s'attaque, quel courage, aux dialectes grammaticalement bâtards des jeunes de banlieue, surtout s’ils sont arabes ou noirs. Pour Zemmour, c’est là la fin de la nation française, les futures guerres tribales risquant de faire disparaître les "vrais français" qui sont déjà largement minoritaires dans leur pays, et qui seront contraints de s’adapter aux coutumes sauvages des nouveaux arrivants.
Car non seulement les homos veulent tous enculer Eric Zemmour, mais les arabes veulent tous le convertir à l'islam.
Eric Zemmour sait de quoi il parle, bon dieu : il vient de la banlieue, comme il n'a de cesse de le répéter (enfin, du 18e arrondissement, ce qui relativise la taille des barres de béton). Et comme le défunt Berge de Seketch l'a dit un jour : "les banlieusards sont des agents dormants du Jihad maçonnique". Dans le roman d'Eric Zemmour, un infâme personnage féminin revendique haut et fort vouloir se gaver de bites, de grosses bites... "Et cette fixation sur le génitoire masculin (decolleté chez les arabo-juifs, massif chez les négro-trotskistes), c'est quand même un trait de l'Anti-france non ?"
Constant dans la dénonciation de tout ce qui menacerait la France Virile et Judéo-chrétienne, Eric Zemmour est le chantre infatigable de la réhabilitation de la France Eternelle, la France blanche, phallocratique et hétérocentrée. Rendons grâce, frères consanguins, à Eric Zemmour, qui a le talent de dégueuler partout ce qui aurait valu des dizaines de procès à Jean-Marie Leborgne il y a encore 10 ans.
Eric Zemmour est là pour rappeler au consanguin que sa nature éternelle, c'est sa Virilité. Contre les femmes, contre les homos, contre les jeunes, contre les musulmans, contre les humanistes et contre internet, le consanguin doit cultiver sa virilité et brosser ses poils. Ce sont eux qui font sa spécificité.
Eric Zemmour balise le terrain. A force de marteler que la science dit des conneries, que l'antiracisme est un néocommunisme, et que certaines cultures en valent bien d'autres, Eric ouvre grand la porte des statistiques ethniques et facilite la consécaration légallle des contrôles au faciès. Deux préalables indispensables au tarissement du déferlement des hordes mahométanes et des terroristes clandestins, ainsi qu'à la sauvegarde du jambon-beurre dans nos brasseries.
Qu'on se le dise, Eric Zemmour n'aura de cesse de se battre qu'une fois qu'on aura restauré une France Virile, bonapartiste, composée de bourrins blancs et cathos qui cassent du pédé le samedi soir avant de rentrer mettre une cartouche à bobonne sagement occupée à langer ses douze lardons - histoire d'entretenir sa Haute Condition de "Prédateur" après qu'on ait bouté les étrangers et les antiracistes loin de nos frontières. Qu'on se le dise, Eric Zemmour distille la petite musique accordéonnée de la Réaction la plus sèche, la plus aboutie, la plus consanguine qui soit.
Rendons grâce aux fillettes qui repoussèrent Eric pendant sa jeunesse et aux gays qui le réconfortèrent ensuite. Aujourd'hui, malgré ses membres malingres et son dos vouté, Eric Zemmour fait indubitablement partie de la race des grands hommes.