25 octobre 2009

Samson et EPASA

"Je trace ma route" a expliqué Jean Sarkozy, qui nous a transmis en exclusivité son clip de campagne, tourné précisément à la Défense.





Homo marketus communicationis,
Neuilly-sur-Seine, octobre 2009


A peine souligniions-nous ses côtés délicieusement aristocratiques (blond, quasi-chevaleresque, lignée de conquérant, réseaux du Triangle d'Or...) que Jean Sarkozy se coupe les cheveux et renonce à la Présidence de l'EPAD. Le charme serait-il rompu ? Il ne serait donc qu'un cancre post-pubère sans aucun diplôme, qui ne peut se targuer que d'avoir été "élu" (enfin, façon de parler) par les habitants du ghetto neuilléen tout entiers dévolus à la cause sarkozyste ? En gros, selon ses détracteurs, le Prince Jean serait un bon à rien (je sens poindre les jeux de mots Godwin)... Nous ne pouvons le croire.

D'ailleurs la presse quasi-unanime souligne le "courage" du Prince Jean, dont la décision n'a bien entendu absolument rien à voir avec quelque consigne paternelle - puisque père et fils le martèlent mordicus.



Il est pas beau, l'avenir de la Droite Dramatiquement Décomplexée ?

Heureusement, le message envoyé par le pouvoir demeure. La méritocratie, cette menace constante sur la suprématie des souchiens en leurs terres, n'est qu'une fumisterie que les faits démentent le plus souvent. La fable doit néanmoins se poursuivre, pour nous permettre de continuer la lutte contre les concepts totalitaires de parité, de diversité, voire de quotas dans les emplois publics et privés.

Le principal, c'est bien la perpétuation de cet état de fait, déjà largement battu en brèche, aux yeux des consanguins, par la poussée des allogènes dans tous les milieux socio-professionnels. Et, en outre, la poursuite de la vaste entreprise de criminalisation des gauchistes à laquelle se consacrent inlassablement plusieurs de nos ministres. L'équation est simple : l'opposition politique doit être dépeinte totalitaire, et la contestation civile doit être présumée terroriste.

13 octobre 2009

Népotisme et haute lignée

Tentons de prendre du recul. Les polémiques se succèdent, qui détournent nos compatriotes de l'islamisation terroriste du monde et la crise économique. La dernière en date doit pourtant retenir notre attention une seconde, mes frères.

La désignation de Jean Sarkozar à la tête de l'EPAD suscite une nouvelle polémique, avant même qu'on ait eu le temps de bien se vautrer dans celle du ministre génétiquement gauchiste qui s'adonne au tourisme sexuel et à des starring roles dans des productions cinématographiques dégénérées.. Mais reconnaissons discrètement qu'elle éloigne définitivement la polémique relative à notre chouchou du moment, le Ministre de l'Intérieur.


Celui que la presse bolchévique qualifie de "Prince" Jean doit recevoir un héritage particulièrement stratégique, puisqu'il s'agit de la gestion du plus gros quartier d'affaires européen.

Remarquons d'abord qu'à chances égales, on constate qu'il vaut mieux développer son carnet d'adresses et bien se marier très tôt, plutôt qu'écouter voire "produire" du rap, cette musique de merde sataniste de truands nègres anarcho-nihilistes du démon. A l'arrivée, Jean gravit les échelons de la gloire, quand son aîné fraye avec Doc Gynéco...

Mais le jeune Jean, perché sur son laborieux Bac + 1, le Jordy de l'UMP se fait néanmoins déchirer dans les chaumières. La gauche crie au népotisme (il est vrai que François Mitterrand avait beaucoup moins mis sa progéniture en avant) et parle de dynastie, de fait du prince. Quant à notre mama de la forêt noire (bien que née à Neuilly), Marine Leborgne l'affirme haut et fort : désigner un "fils de" à la tête d'une moulinette à milliards, c'est indigne, "c'est une salissure sur l'image et l'honneur de la France-Monsieur".

L'honneur du pays serait, cela va de soi, bien mieux défendu par un populiste xénophobe qui relativise l'horreur des camps nazis, mais ça, la presse est trop bornée et trop gauchiste pour l'admettre.


(Marine, fille de Jean-Marie, mais passons)

Par conséquent et à la suite de Mariiiine, les phalanges consanguines s'emportent elles aussi. Les souchiens ont arraché leurs museaux glaireux des parties charnues de Frédéric Mitterrand pour les pointer en direction du jeune conseiller général. Ils hurlent : la France-Monsieur est la risée du monde civilisé, et les sauvages tropicaux nous collent des tapes dans le dos en rigolant très fort. Une Ripoublique bananière, vraiment ? D'autant que d'autres cas de népotisme s'accumulent.

Le pays s'émeut de cet exemple flagrant de népotisme, au moment où le père de Lorie annonce sa réforme du lycée en rappelant que la création napoléonienne avait pour vocation de mettre fin aux privilèges de naissance. Ah, quelle ironie ! Le Sarkozar voulait la méritocratie et la culture du résultat ? Il ne nous propose que la médiocratie et la culture du rattrapage en septembre. Méritocratie ? Que l'on se le dise, les consanguins y substitueraient volontiers la préférence nationale, n'en déplaise aux plus atlantistes d'entre nous.

Dénonciation du népotisme, ou racisme anti-blond ?

Il n'y a qu'au sein de l'armée des Clones qu'on trouve parfaitement normal ce gros foutage de gueule en Marbre de Cararre (à l'exception notable de Stinky Sahib, mais le Ministre a lui-même un CV assez mince, donc une légitimité toute sarkozienne, d'une part, et il est occupé à criminaliser les gauchistes en exhumant la loi de 1936 contre les milices privées*, d'autre part. Ce en quoi nous ne pouvons encore une fois que l'applaudir). Les vrais nationalistes, eux, s'enflamment contre l'establishment gangstériste des Hauts-de-Seine, la corruption bourgeoise, voire la main-mise de la loge judéo-maçonnique hongroise sur l'appareil productif français. D'autres y voient plutôt l'apologie de la paresse soixantuitarde, d'un certain hédonisme à cheveux longs, la prime aux cancres - et à cet égard, notre admirable Benoît Fleury s'en tire moins bien qu'un cancre biactol à qui tout un département vient lécher le périnée.

Alors, la polémique ? Saine réaction démocratique ou nouvelle persécution d'un chrétien ? Odieuse révolte prolétaire ? Racisme antiblanc ?

Pour beaucoup de nos coreligionnaires, il s'agit juste d'un avilissement politique de plus. Contemplez le tableau : des ministres issus de l'immigration ou de la chienlit socialiste, un autre qui s'envoie des hommes (des hommes mon Diiieuuu, des hooommes !) en Thaïlande, et maintenant un jeune fils à papa victime consentante d'une tournante pédophile dans une tour en verre de la Défense.

Mais, mes frères. En réalité, est-ce si sordide ?

L'élection, le couronnement de l'Aiglon n'a-t-il pas au contraire une valeur symbolique que nous autres, consanguins, devrions percevoir bien mieux que le commun des mortels ? N'y a-t-il pas là un signal civilisationnel fort envoyé à notre espèce ? Le népotisme et la délation, ne sont-ce pas deux critères sociétaux plus plaisants que la "diversité" ou la "solidarité" ?


Gnéé ?

Réfléchissons : et si ce népotisme était plus qu'un opportuniste calcul financier ? Si on regarde cette blancheur laiteuse, ce regard si profond et perçant, son expression si concentrée, la flamme visionnaire qui enflamme ce visage et dont on sent qu'elle consume également son âme, ne peut-on y voir l'image du franryen (une sorte de quintessence du français, Herr Doktor Hans Grüber explore actuellement la notion) ? Son parcours, princier, son mariage, héritier, son réseau, hérité. Un certain idéal de francité, d'occidentalité, d'arrogance aristocratique. Une véritable marquisation de nos jeunes élites.

Même si l'idée déplaît à nos vieux skins homophobes, en 2009, un acteur d'AB Production de 23 ans, pas très doué pour les études ni en scooter mais dauphin du Chanoine de Saint Jean du Latran, fils de l'Inspecteur Kärcher, peut devenir président d'un Etablissement Public de 115 millions d'euros. Alors qu'un ingénieur de 25 ans, a fortiori s'il est malien ou marocain, va continuer à ramer sa race comme il se doit, même s'il enterre le surfer des Hauts-de-Seine sous les diplômes et les jobs de merde.

Ne peut-on déceler là la réhabilitation d'une authentique consanguinité royale ? Peut-être pas digne des plus grandes familles d'Europe, mais au moins l'esquisse d'une nouvelle lignée ? Certainement pas un Retour du Roi, mais peut-être déjà la promotion d'un nouvelle élite à mi-chemin entre HEC et la Nouvelle Star, avec un petit côté "Bal des Débutantes" en plus.


Esprit de conquête et aménagement du territoire


Comme nos crapauds capétiens et nos grues carolingiennes le coassent usuellement, la monarchie présentait certains avantages. Qui horrifient les démocrates mais parlent parfois aux consanguins... La monarchie, c'était la responsabilité, la stabilité, la sécurité, l'indépendance, la moralité, beaucoup de consanguinité aussi, et une injustice aussi phénoménale que structurelle. Un rêve de chevalier, et un enfer de prolétaire - et comment ne pas s'en délecter, ne serait-ce que quelques instants ? Christ-Roi !!

La Noblesse d'Etat, nouvelle élite

Alors certes, il n'est pas question de crier au rétablissement d'une quelconque "dynastie" seigneuriale, comme les bouffons socialistes se plaisent à le dire. Les derniers mots de Saint Louis à son fils avaient nettement plus de classe que l'actuelle intronisation filiale. Il n'y aura pas couronnement du Prince Jean à Reims, pendant que Brice Martel guerroie avec les anarchistes autonomes à Poitiers. Ce sont là des fantasmes, c'est dans la symbolique qu'il nous faut interpréter ce gros foutage de gueule en marbre irisé. Comme le meugle Marine, l'honneur du pays est perdu, et la racaille anarchiste gagne du terrain sans que la nation réagisse.


Racaille anarcho-mélangiste à cagoule



Chevalerie franco-héréditaire à panache

Nos monarchistes sont les premiers à dénoncer ce que l'argent-roi, la bourgeoisie et les Lumières ont fait de l'âme française. L'Esprit sain nous a abandonné un soir de mai 1981, ou était-ce en mai 1968, à moins que ça ne soit en juillet 1789.

Mais justement. Il est temps de dépasser les errances républicaines, démocratiques, socialistes et gaullistes. Si Georges Boulanger et Laurence Parisot pouvaient copieusement copuler pour nous pondre le Français 2.0, une sorte d'hybride cybernétique du Réseau Social et du Cordon Ombilical ? Un exemple conquérant ? Ne donneraient-ils pas naissance quelque chose de ce profil :



Pure People
92077 Melrose Place


Alors, entre dénonciation du népotisme libéral et fascination pour les cheveux blonds, voici peut-être le message dont les consanguins doivent convenir :

1) En France, le "prototype" dominant, comme dirait Brice, c'est le blondinet un peu arriviste façon "Jeune Pop", catholique, fils d'un homme d'affaires ou d'un haut-fonctionnaire, voire des deux, et gavé d'amis sur Facebook. Un jeune garçon vivant, qui mord dans la vie à pleines dents, qui n'a pas peur de l'avenir, parce que son avenir, c'est lui qui le construit. Chaque jour un peu plus. Entreprendre, réussir. Travailler plus pour gagner plus. Contrôler le risque. Maîtriser les possibles. Gagner du terrain. Boire du jus de raisin. Vigilants, Ensemble, tout est possible. Booster les synergies. Motivating spirit et âme patriote. La France, tu l'aimes ou tu la quittes.

2) Pour les autres, les immigrés de 2e, 3e voire 4e génération, les individus de basse extraction, les ratés génétiques, les hédonistes lascifs, les dhimmis et les gauchistes, pour les anarchistes sans foi et les accidentés du travail, les intermittents, les surendettés et les mélancoliques, les inactifs et les handicapés, qu'ils soient diplômés ou clandestins, pour ceux qui se coltinent tous les jours les contraintes du marché, de la précarité, du streetfight et de la saloperie commune, c'est marche ou crève (et de préférence, crève).


Nappy's revenge


Dans une France percluse de repentance, où chaque jour des millions de nos compatriotes sont appelés aux guichets des officines du Bien-Pensisme afin de battre leur coulpe et de s'excuser d'être de belles saletés nationalistes, où des cortèges entiers de citoyens sont fusillés chaque matin pour avoir revendiqué leur appartenance à notre Brave Patrie, où il est obligatoire de coucher avec au moins quinze allogènes par mois afin de disperser nos gènes, cette France métissée et totalitaire qu'Alain Finkielkraut dénonce jusqu'à en perdre haleine (mais qu'attendent donc les américains pour venir nous libérer de l'occupant qui a installé sa commandantur au CFCM ?)... on peut désormais s'enorgueillir d'être un fils à papa blanc, religieusement correct, politiquement installé, même si par ailleurs on est une purge totale dans ses études et qu'on a le charisme d'un trisomique norvégien.

Extrapolons un tout petit peu. Il vaut mieux être un éphèbe blond et neuilléen qu'un salarié de Continental ou un sans-papier de Yamoussoukro. L'éphèbe bénéficie à la fois des caméras de vidéosurveillance de parrain Brice pour se protéger des pulsions des ministres de la culture, et d'un capital social composé de riches entrepreneurs totalement mesmérisés ou absolument clientélistes. A l'opposé du spectre, on va ficher tous les allogènes de quartier, tous les gauchistes autonomes, tous les journalistes autonomes, tous les juges autonomes, tous les internautes autonomes, tous les autonomes, et on les fera rentrer dans le moule ou on les déclarera inaptes à la réalité économique et ethnique du pays.

Bon, pourquoi pas ? Alors, que penser au fond du népotisme présidentiel ?

On pensera ce que l'on voudra de ce message, selon qu'on est un identitaire au chômage en la riante cité d'Arras ou un chroniqueur ultracatho au Meilleur des Mondes, mais il ne peut que nous interpeller. Ne serait-ce qu'au plan graphique.


Le Petit Prince de Neuilly
Un exemple pour la France d'Après ?


* Cette loi avait été votée contre les "ligues", et a fut régulièrement utilisée comme instrument de coercition anti-consanguine et anti-fasciste... pour être utilisée aujourd'hui contre les "émeutes ethniques" terroristes et les manifs alter-gauchistes.




12 octobre 2009

Régurgitation du vendredi

La pointure Figaresque dont nous apprécions tant les éditos, piquants d'islamophobie et dégoulinants de Réaction, s'est encore lachée.
Où les brillantes initiatives d'Eric Besson, qui carbonise les "jungles" nordistes au kärcher républicain sous les chaleureux applaudissements des sous-chiens et des nostalgiques de l'Empire Colonial Français (tchin !), sont toutefois relativisées par la finesse d'analyse et le tombereau de préjugés du "meilleur éditorialiste de France".


11 octobre 2009

Quel leader pour le monde libre ? (1)

Mes frères, notre Confrérie reprend du service, afin de guider les consanguins dans la nuit post-post-moderne nihiliste et décadente. Les puissances de l’argent et le djihad gauchiste planétaire se sont abattus, tels deux fléaux divins, sur vos frêles épaules de nationalistes contrariés. Les USA, cette grande nation si ambiguë, nous avaient semblé pouvoir montrer la voie à une vieille Europe presqu’intégralement islamisée, et livrée aux loges du mercantilisme libéral.

Le regain de mysticisme suprémaciste des années Bush ne pouvait pas augurer d’un malheur aussi total que l’élection d’un démocrate multilatéraliste nwââr à la Maison Blanche. Comment les yankees n’ont-ils pas vu la contradiction dans les termes ? Et ce malgré les vibrantes mises en gardes de philosophes aussi couillus qu’Eric Zemmour ou Alexandre Adler ? Las ! La révolution socialiste permanente a gangréné le vaisseau amiral de la flotte métacarolingienne occidentale. Désormais, rien de bon n’adviendra, car un gauchiste prénommé Hussein préside à la destinée du Mooonde Liiibre.


Alors maintenant, qui pour faire le chef ?


Derrière quelle figure tutélaire se rassembler pour aller péter la gueule au reste du globe quand il fout ses pattes sales sur nos oléoducs ou qu’il veut palper du nucléaire ? La dynastie Bush s’est éteinte dans un long bruit mouillé, et les Légions de Sodome et Gomorrhe se sont levées pour bourrer les urnes en faveur d’Hussein Obama.

Aaah, Obama. Depuis le temps que les consanguins s’étranglent sur l’alliance des rouges, des verts, des bruns, des basanés et des bobos, c’est leur synthèse messianique qui a été élue. Obama, le multilatéraliste qui baisse pantalon devant les djihadistes. Obama Hussein, celui que les plus virulents des conservateurs US dénoncent comme un musulman, un islamophile kenyan, un traître, le petit frère de Saddam Hussein. Et puis Obama, c'est aussi, comme le disent et le répètent inlassablement les conservateurs américains, un communiste. Un démocrate vendu aux thèses du collectivisme, qui veut mettre bas la brillante construction civilisationnelle occidentale, et la ramener à un gigantesque kolkhoze mondial géré par un gouvernement centralisé.

Obama, c'est, comme le disent et le répètent nos petits atlantistes continentaux, un négronazi qui veut exterminer la spécificité blanche dans un métissage mondialiste obligatoire, une tournante pratiquée sur la Pucelle d'Orléans par le Gang des Barbares dans une cave de la région parisienne, schématiquement. C'est en fait très exactement l'Antéchrist. En faisant tout pour détruire les États-Unis, cette fragile société de poètes et de scientifiques, la communauté internationale onuzie, en pleine promotion de son idéologie humaniste mortifère (car un humaniste rêve de génocides, c'est bien connu), la société mondiale onuzie ne s'est pas encore rendu compte qu'elle allait se détruire elle-même face aux légions indicibles de l'Axe du Mal Téhéran-Munichois. Ce sera sans doute un effet inattendu et fort plaisant de la Très Sainte Réversibilité, la Reprise Oxydentale Cathofuturiste. La baudruche Obama est portée par cette « dissociété » de post-soixantuitards qui veulent tuer les nations et planifient la dévolution terminale depuis leur stands à la Fête de l'Huma. D'ailleurs, c'est Arnaud Viviant et Harlem Désir qui ont aménagé les conditions de l'avènement d'Obama, okay ?

A bien lire les consanguins, Obama, c'est bien cet antéchrist bolchévicosmonazi (expression qui ferait un excellent titre pour un bouquin - mais une analyse géopolitique un peu confuse). D'ailleurs ce sont les démocrates américains, et en particulier leur aile gauche d'où provient Obama, qui se sont le plus arqués contre tout projet de transformation stratégique de la Sainte Alliance Occidentalo-septentrionale teutobiblique : Poutine et son « nationalisme » Grand-Russe, son attachement viscéral au concept de souveraineté politique, ses méthodes viriles pour régler le problème tchétchène, son mépris de l'ONU, rien de tout cela ne pouvait correspondre aux « valeurs » des gauchistes surfeurs et des hédonistes philosophes de site internet qui ne veulent de l'OTAN que pour « maintenir la paix » au service de la bureaucratie onuzie. Plus fort que "24 heures" et "X-files" réunis.


Obama, le symbole consanguin de l'hydre
démocrato-socialisto-métisso-islamisto-nazie pacifisto-soviétique.

Face au néomélangisme américain, il faut revenir à nos racines. Ouvrons une boutanche de rouge et astiquons une carabine. Quel général en chef pour mener le choc des civilisations ? Quel guide pour personnifier l'extermination de nos ennemis ?



Le leader qui fait bander les souchiens.

Un mec comme Poutine, ça c’est vraiment la classe. Il va à la chasse torse poil, il flingue des tigres, des loups, des tchétchènes et des géorgiens en rigolant comme un cosaque. L'apologie des valeurs viriles, un nationalisme qui ne s'embarrasse pas de discours anti-racistes (il suffit d'être noir à Moscou pour s'en rendre compte), et des méthodes anti-djihadistes qui ont fait leurs preuves. Les russes redeviennent fréquentables depuis qu'ils se sont débarrassés du communisme marxiste et qu'ils se sont reconvertis au patriotisme sanguinolent. Le problème, c’est que Poutine n’a strictement rien à foutre du Mooonde Liiibre. Trop franc-tireur pour prendre le leadership de la Sainte Croisade du Pétage de Dents.


Vladimir Poutine en week-end, 12.07.2009


Poutine c’est pas possible. Donc, on s’est très légitimement tournés vers le Pape. Notre Panzerkardinal avait effectué quelques sorties du plus bel effet, à l’approche de la chute de la Maison Bush.

L'option ecclésiastique


Benoît 16 ! Commandeur des croyants, les seuls les vrais, les catholiques futuristes. Détenteur de la Vérité, et heureux possesseur d'une carte prépayée permettant de joindre Dieu n'importe quand. Le Panzerkardinal a maintes fois prouvé sa belle inclination conservatrice et ce dès sa désignation par le Concile. Les souchiens, par exemple, se sont maintes fois délectés des fulminations papales contre l'islam barbare qui ne sait que tuer et violer, contre le matérialisme et le relativisme des sociétés post-post-modernes, contre les jeux vidéos et internet... mais Benoît ne s'en est pas tenu là : il a également repris langue avec les intégristes et réhabilité la Fraternité Saint Pie X, s'est rapproché de nos adorés Lefebvristes, il a réhabilité également le trés négationniste évêque Msgr Williamson, excommunié la mère d’une enfant violée au Brésil, etc...



Le Panzerkardinal sur le point d'envoyer un Eclair de Force.

Ah, et ce vieux dossier exhumé par quelques journalistes charognards, relatif à un article du Panzerkardinal édité en 1997 dans une revue consanguine autrichienne liée au regretté Jorg Haïder. Le PK y fustigeait sans nuances les concepts de liberté et d'égalité, si fashion dans nos sociétés occidentales débauchées. L'hypertrophiée "liberté individuelle", sa fable démocratique, et leurs innombrables et indicibles vices...

Plus récemment, le Guide s'est s'est illustré une nouvelle fois dans le choc qui oppose la Civilisation Occidentale Blanche et Catholique, à la Barbarie Mondiale Cosmo-islamiste Partouzarde, en prohibiant le préservatif en Afrique Noire, et en expliquant que le petit film en latex favorise la contraction de maladies mortelles. Emoi nostalgique du temps où la parole vaticane ne rencontrait pas les ricanements rationalistes…

Mais, d’une part, la Confrérie des Consanguins attend toujours que le Vatican normalise ses relations avec elle. Et malgré nos témoignages de bonne volonté (Frère Mixomatose a récemment ordiné un allogène serbe, nous ne servons plus de sang d’enfant tzigane à la fin de l’office), le Panzerkardinal tarde à nous rouler des pelles à nous aussi. Après tout, ça ne sera pas le premier.

Et d’autre part, malgré d’indéniables qualités, ce Pape-ci est encore trop mou, trop consensuel, trop paisible pour prétendre reprendre l’étendard consanguin. Nous l’espérions radicalement manichéen, il entretient un odieux dialogue interreligieux. Nous l’attendions visionnaire, il entretient les affaires courantes. Les plus intransigeants des consanguins le comparent au Dalaï-Lama. Et force est de constater que le Panzerkardinal n’a pas non plus la niaque d’un Ali Khamenei ou d’un Ayman Al-Zawahiri. En matière de prédication ignoble et mortifère, on fait des efforts, mais on est un peu just.



Le Panzerkardinal aux prises avec le Wind of change.


Alors, comment faire ? Comment retrouver notre figure paternelle ? Comment faire pour rassurer les consanguins, cette engeance de vieilles carnes conservatrices francaoui, de monarchistes nauséabonds à QI de blatte, de gendres idéaux baignant dans leur arrogance de classe, de hâbleurs orduriers montés en boucle sur leurs deux ou trois allégories démoniques de l'anti-france, et de zombies faisandés étalant leur xénophobie revendiquée à longueur de pages web ?

(à suivre)

Lutte contre le terrorisme islamogauchiste


Grâce à leurs téléphones mobiles, les souchiens participent de façon citoyenne à la lutte de la Civilisation contre la Barbarie. Ici, Oussama Ben Laden déguisé en Roman Polanski surpris au Duplex, à Paris, le 2 septembre 2009

Consanguin wants you !

Consanguin wants you !
*** Enrôlez-vous dans le Choc des Civilisations ***

And remember...